Mariëlle.
(Chacun tient un rôle dans l'histoire de tous. Mariëlle en a tenu
un dans la mienne.)
L'argent fait il le bonheur ?
C'est
la question que nous vous posions en fin de mois d'Août. Quelque soit votre avis, aujourd'hui Focus vous propose un article qui pourrait bien vous
convaincre d'une réponse à cette question.
Vous
avez du temps libre et vous vous ennuyez terriblement. Mais grand(e)
écolo comme vous êtes, il vous reste des piles de « papiers
brouillons » chez vous, et vous ne savez qu'en faire. C'est
l'heure de se mettre à l'origami.

L'origami
qui signifie « papier plié » en japonnais, est un art
importé des pays asiatiques. Le but est de représenter un objet ou
un animal avec du papier que l'on plie pour donner la forme voulue (exemple sur l'image de gauche).
C'est
par ailleurs une manière simple et très économique pour passer une
belle journée et trouver enfin le bonheur...
Chercher
dans sa réserve d'originalité pour passer de bons moments, voilà
la recette de Mariëlle.

Mais
peu importe son métier ou son avenir puisqu'elle tient un rôle
simple mais important dans la vie des gens : elle tente de les
rendre heureux sans argent.
Sur son blog (que Focus vous invite à visiter) elle partage depuis 2010
toute sa fantaisie, sa magie et surtout sa générosité. Effectivement elle raconte ses expériences peu ordinaires qui
pourraient bien nous inspirer, comme celle qu'elle a nommée « 1
000 cranes for 1 000 strangers », c'est-à-dire « 1 000
grues (c'est une espèce d'oiseau) pour
1 000 étrangers ».
Voici
l'histoire de cette longue aventure : un fois, par hasard, elle
tomba sur une vidéo de Jimmy Dagget. Ce
garçon qui un jour, reçu de la part d'une jeune femme une grue
faite en origami, explique dans cette vidéo que la demoiselle avait
embelli sa journée : Il décida alors de distribuer lui aussi
des grues aux inconnus afin de partager un bout de bonheur. Mariëlle
s'inspira de cette histoire mais alla au-delà de ça : comme
elle nous l'a elle-même expliqué, elle combina cette inspiration
soudaine avec la
légende des mille grues.

Alors
la jeune hollandaise fabriqua deux grues chaque jour pendant deux
ans. Au terme de ces deux années, elle alla à son tour distribuer ses mille grues à mille inconnus. N'est-ce pas une aventure simple mais
pleine de générosité et surtout loin de la monnaie dont nous
dépendons tous ?
Voilà
de quoi être heureux sans argent !
[Marïelle,
if you pass by here, Focus thanks you for your answers to the
interview. We hope you will still share a lot of things with people!
Thank for your generosity!]
Pour
aller plus loin : C.
L'histoire
du projet « 1 000 grues pour 1 000 étrangers », en
entier pour les bilingues anglais :
(Mariëlle
raconte les réactions des gens : clic sur le lien ci-dessous)
Mariëlle
tient aussi un magasin depuis un an, aux Pays-Bas. On peut y trouver
des peintures faites de ses propres mains ou même un « kindness
kit », autrement dit un Kit de bonté, qu'elle a elle-même
inventé. Comme cela fait un peu loin pour y aller (même si on y est
vite en avion ou en train !), alors elle nous en parle sur son blog.
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